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La coopérative possède trois catégories d’actionnaires :
Les coopérateurs actifs et administrateurs pourront offrir leurs services et compétences et ainsi, obtenir une rémunération pour les prestations fournies.
Les sympathisants forment la classe des investisseurs, sponsors, soutiens financiers et reçoivent des avantages divers et variés :
* Le Tax Shelter s’applique également aux parts des coopérateurs actifs. Les administrateurs et les personnes morales ne peuvent, par contre, pas bénéficier de cet avantage.
Chacun investit de son temps comme il le souhaite. La seule obligation consiste à participer aux AG ou à se faire représenter.
Le sympathisant dispose également du droit de vote.
Ceux qui souscrivent des parts sont inscrits dans le registre des parts sociales. Les coopérateurs actifs/sympathisants sont tenus de laisser leur investissement durant 3 ans dans la structure. Ils peuvent ensuite décider ou non de récupérer leur mise.
Oui tout à fait. Il suffira de déposer une candidature et de suivre la procédure de recrutement prévue par les Statuts.
Le montant maximal de l'investissement par période imposable et par personne susceptible de bénéficier du Tax Shelter est de 100.000 euros.
Cependant, seuls les premiers 500.000 euros peuvent bénéficier du Tax Shelter.
Nous sommes tous d’accord sur le fait que la permaculture est un formidable outil de transition vers un monde plus juste, durable et cohérent …
Au fil du temps, le mouvement de permaculture s’est étoffé en véritable recherche vers une « culture permanente » … Culture permanente vers laquelle il est impossible de tendre, sans développer particulièrement les éthiques fondatrices, à savoir :
La permaculture humaine vise à cultiver uniquement ce dont on a besoin pour vivre dans un esprit de gratitude et à redistribuer les surplus. Il n’est pas normal qu’à notre époque, certains n’ont pas accès au minimum vital et que d’autres, s’approprient la terre, accumulent les richesses et la rendent exsangue.
La permaculture : un mode de pensée et une vision du monde
Le terme « permaculture » signifiait initialement « culture permanente » (de l'anglais « permanent agriculture ») ; puis avec le temps il a été étendu pour signifier « culture de ce qui est permanent dans le sens (sociologique) de pérenne ou viable ». En effet, les aspects sociaux font partie intégrante d'un système véritablement durable.
L'objectif étant de permettre aux individus de concevoir leur propre environnement, et ainsi de créer des habitats humains plus autonomes, durables et résilients, en s'inspirant des fonctionnements naturels locaux. L'idée est d'atteindre une société moins dépendante des systèmes industriels de production et de distribution (identifiés par Bill Mollison comme le fondement de la destruction systématique des écosystèmes).
La permaculture constitue un mode de pensée et une vision du monde qui pour certains va au-delà des seules pratiques de production agricole.
La permaculture, c’est aider les gens à faire des choix de re-design : fixer de nouveaux buts et apporter un changement dans la manière de penser qui affectent non seulement leurs actions chez eux, mais également leurs actions sur leur lieu de travail, leurs emprunts et leurs investissements " (A Sampson-Kelly et Michel Fanton, 1991).
Brièvement, la permaculture est un concept systémique et global qui vise à créer des écosystèmes respectant la biodiversité. Le concept s'inspire de la nature et de son fonctionnement (modèle d'agriculture naturelle).
La permaculture pose trois grands principes :
– Prendre soin de la terre,
– Prendre soin de l’être humain,
– Produire et partager les ressources en visant l’abondance
Et propose des outils inspirés des lois de la Nature
Autres outils : la gouvernance partagée, la prise de décision par consentement, la communication non-violente, la gestion amiable des litiges, la Conscience corporelle, l'agriculture naturelle, la Pleine Conscience etc.
La permaculture humaine propose des alternatives économiques basées sur :
Ces alternatives forment les piliers de la permaéconomie (d’après Emmanuel Delannoy, avocat de la réinvention écologique de l’économie)
Il s’agit d’une invitation à reconstruire la pensée économique, un peu dans la lignée de René Passet (économiste, auteur du livre « l’Economique et le Vivant »), en considérant que la biosphère et les écosystèmes devraient y jouer le rôle que jouent les sols dans la permaculture : ce qu’il faut entretenir en priorité en respectant leurs richesses naturelles, leurs qualités organiques et leur biodiversité, leur fertilité ou potentiel de création d’autres richesses, loin du productivisme qui détruit aussi bien les qualités organiques des sols que le climat, le tissu social ou l’emploi.
La permaéconomie aborde les thèmes de la coopération et de coproduction, celle d’innovations « douces » non fondées uniquement sur les technologies, les pratiques économiques qui s’inspirent du vivant, lequel « optimise plutôt qu’il ne maximise », le « capital naturel » comme bien commun à gérer en commun, ou la recherche de gains de productivité matières plutôt que de gains de productivité du travail.
La proposition est ambitieuse et relève d’une véritable économie circulaire « inspirée par le vivant » et non limitée au recyclage.
Cette quête d’une « nouvelle alliance avec le vivant » est suggestive, d’autant qu’elle n’en reste pas au « biomimétisme » :
« innover en s’inspirant du vivant, c’est bien, innover par et pour le vivant, c’est mieux ».
La permaculture humaine offre également des solutions :
En conclusion
Vous l’aurez compris, la Permaculture humaine, c'est être attentif à la l'Humain, à la Communauté, au Vivant.
C'est créer l'abondance (dans le noble sens du terme), prendre son juste besoin et redistribuer les surplus. Ce qui implique de responsabiliser afin de rétablir l'équilibre des écosystèmes et de redistribuer les richesses … afin que chacun puisse s'épanouir et vivre dignement.
C’est retrouver notre lien avec la nature car tout problème trouve sa solution dans l’observation de la nature.
La grande leçon c’est qu’il n’existe pas de hiérarchie mais une place et un rôle pour chacun !
Il existe surtout une coopération entre les espèces et seule cette coopération permet la survie de tout l’écosystème. Changeons notre regard anthropocentrique et visons la coopération avec les éléments qui nous entourent.
Enfin, trouvons notre place collectivement.
Notre place n’est pas inscrite dans notre patrimoine génétique, nous devons la découvrir et, pour ce faire, sortir du moule social dans lequel nous sommes élevés. Trouver sa propre niche, sa place et sa raison d’être, est un préalable à toute participation à un projet collectif.
Isabelle Van Regemoorter, Source de Graines de Plénitude SCES agréée.
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